Tinkerberg et l’autisme
Nikolaase Tinkerberg, éthologue hollandais qui partagea le prix Nobel de médecine avec Konrad Lorenz en 1973, fit dès son discours de réception du Nobel allusion à une théorie qu’il pensait avoir découvert au sujet des enfants autistes, même s’il n’avait pas étudié rigoureusement ce sujet.
Il prôna la pratique de la «holding therapy» dans laquels les parents d’enfants autistes devaient maintenir dans leurs bras aussi longtemps que possible leur enfant autiste pour tenter de forcer un contact visuel.
Cette pratique popularisée par le prix Nobel, qui n’avait aucun fondement scientifique, est aujourd’hui considérée comme inefficace et dangereuse, et elle constitue une forme de maltraitance.
Autisme et inflammations microbiennes, en vrac, incertitudes...un prix nobel gateux ou une piste sérieuse?
Nous sommes dans un monde incertain dans lequel nous devons cependant prendre parti et interagir, ce qui le transforme en retour et nous également.
> Trouble de la relation de la mère à l'enfant, culpabilisation
> Causes génétiques, il fallait faire l'enfant avant 35 ans et surtout tenir compte des antécédents, pas de chance et irresponsabilité. Ne concerne qu'un tiers des autistes.
> Origine bactérienne peut seule expliquer l'explosion du nombre de cas de Troubles Envahissants du Développement(TED), hors cause génétique avérée, en particulier chez les enfants d'immigrés une fois arrivés sur un sol étranger.
Le lien serait modification expression génétique due à inflammation aigue puis quasi chronique liée à l'envahisseur microbien qui laisserait son matériel génétique.
"Il existe dans le sang de la plupart des enfants autistes - mais pas chez les enfants non atteints - des séquences d’ADN émettant spécifiquement dans certaines conditions des ondes électromagnétiques. L’analyse par les techniques de biologie moléculaire à notre disposition nous permet de les identifier comme provenant d’espèces bactériennes connues. Cette corrélation, établie maintenant sur plus d’une centaine d’enfants d’origine européenne, ne prouve pas naturellement une relation de causalité. Cependant, une approche thérapeutique, d’abord commencée indépendamment par un groupe de cliniciens puis maintenant effectuée en conjonction avec les observations de laboratoire, renforce l’idée que des infections bactériennes systémiques jouent un rôle dans la genèse des symptômes d’autisme. Nos médecins généralistes ont en effet observé qu’un traitement de longue durée, constitué par des cures de combinaison d’antibiotiques connus, induisait dans 60 % des cas une amélioration considérable, parfois même une disparition complète des symptômes, l’enfant pouvant mener une vie familiale et scolaire normale. Ces traitements entrainaient conjointement la disparition des signaux électromagnétiques du plasma liés à de l’ADN bactérien. Notre hypothèse de travail est qu’un dysfonctionnement immunitaire, associé à une souffrance inflammatoire de la muqueuse intestinale, entraine un passage de constituants bactériens, dont des neurotoxines, dans la circulation sanguine, créant notamment un stress oxydatif ainsi que des microvascularites, en particulier au niveau des vaisseaux méningés, et finalement une atteinte neuronale. Naturellement, bien des recherches sont encore nécessaires pour consolider cette hypothèse, mais notre but est ici de porter dès à présent à la connaissance du monde médical et des parents, des possibilités immédiates de traitement qui peuvent améliorer ou guérir plus de la moitié des enfants autistes et qui pourront aussi, dans le futur, s’appliquer à d’autres affections chroniques graves de l’enfant et de l’adulte, notamment rhumatologiques"
La corrélation pneumopathie-autisme est établie depuis 1988, on nous cache tout, on nous dit rien, appris ces derniers jours...
Ben tiens mon enfant a fait deux pneumopathies avant de régresser, à la troisième il y a deux ou trois ans, il avait des antibio et j'avais tellement remarqué son changement d'attitude que j'en avais parlé à sa psy méthode teach, sans plus. De plus il n'est pas génétiquement autiste. Soigner les comportements les psys comportementalistes essayent, mais tenter de trouver pourquoi un enfant a les symptômes de l'autisme sans cause génétique surtout que ça se répand comme une maladie permettrait de soigner les autres plus directement, les psys jouant alors sur la plasticité neuronale pour faire reprendre un comportement moins fuyant, quleques fois agressifs ou rentrés de ces enfants autistes, pour les aider à se normaliser donc, comme on réapprend à marcher après un coma ou un accident. Résultat le profil de mon fils pourrait s'inscrire dans cette heuristique.
Le risque lié à la prise d'antibiotiques est quasi nul, de toute façon l'enfant est suivi y compris avec des prises de sang, ce qui explique que cette heuristique non encore vérifiée puisse donner lieu à des soins, et le fait qu'il n'existe pas encore de données l'invalidant encourage à aller dans cette voie, à condition d'avoir la même histoire d'autisme, le même profil d'infection microbienne sans diagnostic génétique.
Montagnier défend cette thèse, il a supervisé des soins aux antibiotiques sur des enfants atteints d'autisme, 200 médecins suivent le même protocole, d'après le site chronimed ça donne 52 % d'amélioration nettes des symptômes, 30% sans effet notables ce qui est logique puisque statistiquement 28 à 33% des cas d'autisme sont d'origine génétique.
Devant ses conférences qui interpellent détracteurs, pouvoirs publics et hommes de sciences, une étude en double aveugle est en cours à l'hôpital Robert Debré. Ils ont trop peur de se retrouver aussi bêtes que devant le SIDA avec leur refus d'alors d'accepter qu'un rétrovirus était possible
Là mon épouse en parle avec une maman dont le traitement fonctionne sur son enfant.
Recherches internet et je découvre les données énoncées plus haut, on trouve sur Toulouse, un médecin faisant partie de ce réseau, appliquant ce protocole sérieusement.
Des analyses vont avoir lieu, il n'oubliera pas les pro-biotiques.
Ça dure deux ans par période de vingt jours avec bien sûr changement d'antibio tous les trois mois. (qu'on essaye de cibler au vu d'analyses de traces)
On s'est mis d'accord pour n'en parler à personne sur Toulouse. On verra si les intervenants, de la maîtresse à l'orthophoniste, ergothérapeute psychomotricienne, psychologues, notent un changement.
Ainsi on aura un retour repère, pas envie de faire partie de ces parents qui notent des progrès à la moindre poudre de perlimpinpin.
Mais à l'origine il y a un neveu, maréchal ferrant, pizzaiolo à ses heures, qui a vu la piste microbienne sur Arte et qui nous en parlé.
Je n'oublierai pas cette attention, ce quelque soit le résultat.
Autre, le risque d’autisme chez l’enfant est multiplié par 2 (OR : 1,9 ; IC : 1,7–2,1) quand un parent est touché par une maladie bipolaire et par 2,5 (OR : 1,9 ; IC : 2,1–3,0) quand c’est un frère ou une sœur. Pour les auteurs, ces données suggèrent que ces trois affections (troubles du spectre autistique, schizophrénie et troubles bipolaires) « partagent des facteurs étiologiques communs" (chronimed d'après une étude suédoise)
Je suis dans ce cas mais il serait temps de comprendre que l'acquis devient inné, autrement dit qu'on peut transmetre une modification génétique dominante ou récessive et donc que ce n'est pas soit l'un soit l'autre mais les deux avec deux types de soins différent, même si combinés.alerter
